Home 
 WebTV 
 Actu 
 Musique 
 Photos 
 Agenda 
 gOS 
 FaceBook 
 MySpace 

Copyright: Les musiques proposées à l'écoute restent la propriété intégrale de leurs créateurs respectifs. Un dépot auprès de la SACEM et de la CNIL est en cours. En espérant que cette démarche puisse apporter à tous...


Utilisateurs de Firefox, si vous ne voyez pas le lecteur dans la pop-up, installez ce fichier !


Ecoutez la radio avec votre lecteur prÈfÈrÈ !

     



Archives:

août 2004
septembre 2004
octobre 2004
novembre 2004
décembre 2004
janvier 2005
février 2005
mars 2005
avril 2005
mai 2005
juin 2005
juillet 2005
août 2005
septembre 2005
octobre 2005
novembre 2005
décembre 2005
janvier 2006
février 2006
mars 2006
avril 2006
mai 2006
juin 2006
juillet 2006
août 2006
septembre 2006
octobre 2006
novembre 2006
décembre 2006
janvier 2007
février 2007
mars 2007
avril 2007
mai 2007
juin 2007
juillet 2007
août 2007
septembre 2007
octobre 2007
novembre 2007
décembre 2007
janvier 2008
février 2008
mars 2008
avril 2008
mai 2008

Messages Actuels









29 août 2006
Cherche album de DeLaStreet

Petite annonce:

Je cherche l'album de DeLaStreet... Je sais, ça se fait pas, mais j'ai beau les mailer, mailer toutes les boites d'éditions qui les ont produit... Rien... Chou blanc...
DeLaStreet est un excellent groupe de ska'coustic qui s'est séparé il y a quelques années, et il est devenu impossible de trouver leur album...
Je suis pret à le racheter d'occaz si besoin... Mais il me le faut... J'adore !
Leur site

N'hésitez pas à me contacter si vous avez une piste... Merci

Edit: Trouvé !

Ecrit par My status ScHinZe à 01:09
0 commentaires

28 août 2006
Blague de sysadmin



Merci Kev'

Ecrit par My status ScHinZe à 23:56
0 commentaires

26 août 2006
Joyeux anniversaire...

Et voila, NiPourNiContre vient de passer une nouvelle année...

Pas vraiment envie de philosopher là dessus cette année...

A vrai dire, j'en ai rien à foutre, comme j'en ai rien à foutre d'avoir 24 ans ce soir à minuit...

Désolé, pas trop le moral en ce moment...

Autant fermer ma gueule...

Ecrit par My status ScHinZe à 15:46
0 commentaires

25 août 2006
Bye Pluton...

Vous vous en fichez peut etre, mais moi ca m'fait bizarre...
L'UAI, Union astronomique internationale, a décidé de revoir la définition de planete, et Pluton n'en fait maintenant plus parti...
Alors qu'il y a quelques temps on a faillit intégrer une 10eme planete, Sedna, voila que maintenant on redescend a 8 planetes...

Tchao Pluton !
Source

Ecrit par My status ScHinZe à 13:15
0 commentaires

Ah l'amour...

L'amour est un petit animal fugace, à la tendresse absolue et au bonheur efficace, quand il est avec toi, plus rien ne te tracasse, quand il s'en va au loin, tu souffres de voir ton histoire qui passe...
L'amour est une drogue, une douce, une dure, l'amour est une drogue qui se balade dans ton corps et dont l'effet perdure... L'amour est une belle plante verte dont la chaleur te monte directement à la tete, l'amour est une poudre blanche que tu prend avec un billet, et qui te procure tant d'énergie que tu peux tout supporter, l'amour est un bonbon qui te fait perdre la raison, mais la redescente est dure, et dur est le choc de ton esprit sur cette cloison...
Amour impossible ou amour terrible, histoire sans fin ou fin de l'histoire, une page qui se tourne, tu te retournes et tu repars, la tete et les épaules bien hautes style de rien, avec un trou au coeur qu'on espère voir comblé demain...

Ecrit par My status ScHinZe à 00:15
0 commentaires

24 août 2006
Rêves...

Il m'est arrivé quelque chose cette nuit...
J'ai fait un reve...

Depuis toujours, mes reves étaient régis par 2 regles:
- Impossibilité de m'envoler... ou du moins de tenir en l'air a volonté
- Impossibilité absolue de courir. Comme si un champ magnetique retenais mes jambes quand je décidais de courir.

Depuis que j'ai déménagé a nice, j'ai enfin réussi a m'envoler... J'ai meme survole l'Everest (et au somment culminait, dans mon reve, un village nommé Salernes -c'est un village dans le var- me demandez pas pourquoi, mais, malgré le fait de le voir depuis des kilometres de haut, pour moi c'était ce village...)
Et bien cette nuit, je révais que je courrais...
Pas a la vitesse de l'éclair, courrir normalement, mais rien ne me retenais: Pire, je ne me fatiguais pas... Ainsi, j'ai couru depuis le boulot jusqu'a chez moi.
Je crois que j'avais fait une boulette, j'avais modifié un mot de passe root sur une machine de prod, pensant que c'était une machine de test, sans le retenir...
Ca me fait penser que je suis en train de bosser sur une machine de test justement... Ce reve est surement un signe pour me rapeller d'etre tres vigilent...

Sinon, j'ai fait un autre reve étonnant de réalisme l'autre nuit...
Je révais que je venais de mourir (me demandez pas comment, j'en sais rien)...
Et la, je découvrais qu'apres la mort... et bien on reste sur terre, et l'on découvre d'autres gens morts...
Bizzarement, tout le monde semblait perdu et cherchait son chemin... Ca m'a fait la meme impression quand j'ai regardé le premier épisode de Lost, et de voir tout le monde sonné, apres le crash, sur la plage, sans savoir ou aller ni quoi faire...
bizzarement, encore, j'étais le seul a marcher a contre sens, et a savoir précisement ou aller et quoi faire... sans pour autant connaitre le but final de tout cela... Je me sentais comme chargé de guider tout ces pauvres esprits...
Mais c'était si réel.
Les vivants ne nous voyaient pas, et nous, les morts, on se sentait ignorés complets...
Comme regarder le monde comme un spectateur isolé...
Est-ce un résidu de mon overdose de la série Medium ?

Ecrit par My status ScHinZe à 12:14
1 commentaires

21 août 2006
Hommage, par Marina

Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit vouloir ma peau ! (inch Allah)
Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit avoir ma peau !

---------


Il n'a pas eu de chance dans la vie
Pourtant la vie est une chance
Messieux les anges,
Il est là, ne l'oubliez pas !
C'est une prière
Une urgence, faites lui signe !
Il saura saisir sa chance
Offrez la lui simplement
Il saura vous dire merci
Il a l'âme pure
D'un enfant
Son coeur est rude
Il affronte les pires tempêtes
Son âme est mure
Il sait tirer les enseignements
Voir l'infiniment petit et l'infiniment grand

Comme Jésus en son temps, sa ligne est discrète
Pourquoi faut-il des preuves ?
Trouver du boulot n'est-il pas aussi héroïque que de ressusciter ?
Un mal de tête lancinant n'évoque-t-il pas une couronne d'épine ?
Une rupture douloureuse n'égale-t-elle pas un chemin de croix ?
Un blog ne vaut-t-il pas la dictée controversée d'un évangile ?

Ecoutez le !
Regardez le vivre !
Soutenez le !
Il se fait faible comme le messie de Dieu
Mais lui, croyez le !
Ne le laissez pas mourir

Ecrit par My status ScHinZe à 00:35
0 commentaires

20 août 2006
Migraineux... Un état d'esprit...

Ca fait un ptit moment que je traine sur le forum Doctissimo pour essayer de trouver une solution à mes migraines...
Je suis tombé sur un post d'une femme mettant en avant les difficultés sociales que subit un migraineux, en nous faisant part de quelques extraits de son futur livre...
En voici un que j'aime bien...

Le migraineux est également revendicateur. Ce qui est logique puisqu'il a vécu caché durant des siècles. De nos jours, certains osent parler. Mais il reste difficile pour un homme d'avouer avoir un « problème de bonne femme ». Imaginez les moqueries des collègues : « Alors, dans ton couple, c'est toi qui dis ?Pas ce soir, chérie? ? ». La virilité en prend un coup. Ces problèmes de communication sont d'ailleurs évoquées par un quinquagénaire se plaignant de n'être pris au sérieux ni dans son entourage professionnel, ni même dans sa propre famille. Un spécialiste lui répond doctement qu'il suffit de bien communiquer. Murmure général d'indignation dans l'assistance. Le pauvre conférencier ne connaît pas le potentiel de colère couvant derrière ces deux cents cerveaux incompris!

Je rajouterais...

Toujours fatigué, toujours "à l'ouest" complet...

Quel choix avais-je entre:
- Ne rien prendre et subir ces douleurs incessantes, qui m'ont parfois amené à envisager le suicide pour les faire passer
- Me droguer aux médocs pour ne plus rien sentir, et devenir simplement spectateur du monde qui m'entoure

Pas simple de garder des rapports sociaux lorsque la douleur vient vous bouffer vos journées...
Et le pire, c'est que les gens ne peuvent pas comprendre... La douleur est une notion si subjective...
Doit-on vraiment en venir à des solutions radicales pour faire comprendre aux autres le mal-etre que nous procure une douleur continue ?
Une fois de plus, j'ai choisi la solution de facilité... L'isolement...
Une fois de plus, me voila seul, pour ne plus faire subir aux autres les douleurs qui me rongent intérieurement...
La vie est une question de choix...
J'ai fait le choix de prendre des médocs pour ne pas me jeter par la fenêtre, elle a fait le choix de me quitter, j'ai fait le choix de m'isoler, j'ai fait le choix de subir mes douleurs tout seul...
Peut être qu'un jour une fille me choisira malgré mes soucis de santé, et qui acceptera qu'un homme peut être quelqu'un de sensible ayant besoin de soutien pour traverser des épreuves difficiles...

Le seul hic, c'est que tout cela a fait de moi quelqu'un d'introverti...
Et, ayant "perdu" (entendez par là "avoir dégradé des relations avec..." ) ma femme, mes amis, mon travail, ma famille (l'ordre n'est pas innoncent) à cause de mes migraines, me revoila seul face à moi même pour comprendre le pourquoi de tout cela, et peut être ainsi, espérons le, le régler définitivement...

En espérant que ma "solution radicale" ne reprenne pas le dessus...

Ecrit par My status ScHinZe à 01:37
0 commentaires

14 août 2006
Mon coeur est un bigorneau

Oui oui, un bigorneau... vous savez, le crustacé....

Ce petit animal dont personne ne sait réllement a quoi ca ressemble qui, de peur d'etre touché, vis cloitré dans une carapace extremement solide, dans laquelle il décide de s'aménager une vie confortable car il sait qu'il n'en sortira jamais...
Pourtant, si vous etes assez patient, vous verrez tout doucement la coquille se lever, et le bigorneau sortir...
Mais des que vous le touchez... la carapace se refermera instantanément, et vous voila repartis dans une attente interminable du moment ou le mollusque décidera de remontrer son nez...

L'ironie du sort, c'est qu'il arrive parfois que le bigorneau sorte un peu de sa coquille, se laisse toucher, l'apprécie, et pourtant morde le doigt qui a tenté de le sortir de la... et qui, malgré la patience du doigt en question, décide de retourner s'enfermer dans sa carapace...

Mon bigorneau a fait ca, et le pire, c'est qu'il a reproché au doigt de quitter cette coquille fermée et ininteressante...

J'ai été con, vraiment...

Désolé Ju. Adieu.

Ecrit par My status ScHinZe à 16:56
0 commentaires

10 août 2006
Et on se demande pourquoi je préfere Linux ?

Je suis ingénieur système, je sais je ne devrais pas m'en vanter. Lorsqu'on me demande quel est mon métier il m'arrive de plus en plus souvent de répondre "je suis dans l'informatique". Cette vague formulation a au moins le mérite de
m'éviter la lueur de haine méprisante qui apparaît instantanément dans
l'oeil de l'interlocuteur le mieux disposé
au simple énoncé de mes coupables occupations. Je suis lâche. La
prochaine fois je répondrai tueur à gages, le relâchement des moeurs
étant ce qu'il est, cela devrait moins
choquer.

C'est un métier gratifiant à bien des points de vue, c'est vraisemblablement le seul où le néophyte total, celui qui vient
d'ouvrir son premier carton d'ordinateur se sent en mesure de vous expliquer votre métier dans le quart d'heure qui suit le montage de sa bécane. A ma connaissance conduire une voiture ne transforme personne en mécanicien, pas plus que raboter une porte ne fait de vous un ébéniste, mais taper sur un clavier fait de tout un chacun un informaticien. On n'arrête pas le progrès.

N'allez surtout pas croire que je veux garder pour moi les clés du savoir et en tenir éloigné le vulgum. Que je regrette le temps où les ingénieurs système détenaient le pouvoir abrités derrière leurs incantations absconses. Nenni. Bien au
contraire, étant d'un naturel assez paresseux, pour ne pas dire d'une
fainéantise crasse, je préfère de très loin un utilisateur qui se débrouille sans moi. Mais je reste persuadé qu'informaticien c'est aussi un métier.

Par contre je regrette - parfois - le temps où le métier consistait à surveiller un Vax, ceux qui ont connu cela savent à quel point c'était reposant, ou alors à rebooter une station Unix tous les trente-six du mois pour justifier son existence.

Avec l'arrivée des PC et surtout de Windows nous sommes entrés de plain-pied dans ce que l'on pourrait appeler l'ère du Chapelier Fou, c'est-à-dire l'irruption de l'irrationnel dans ce qu'il a de plus poétique et de moins maîtrisable au beau
milieu d'un monde jusque là bien tenu. En vertu d'un darwinisme élémentaire il a bien fallu s'adapter. Aujourd'hui être IS dans le monde merveilleux de PetitMou, c'est être un hybride monstrueux, un mélange aussi subtil qu'indéfinissable de chaman, de Ménie Grégoire, de Dédé la Bricole, de Bobologue, de charlatan et de psychopathe.

Je ne remercierai jamais assez Bill Gates pour avoir transformé un métier relativement terne et basé sur une approche bêtement technique et rigoureuse des faits, en challenge quotidien, nécessitant une remise en question permanente à l'échelle du quart d'heure.

Quoi de plus stimulant sinon de savoir que résoudre un problème ne viendra en aucune façon enrichir ce qu'il est convenu d'appeler l'expérience, puisque le même problème nécessitera lorsqu'il se posera à nouveau une solution radicalement différente. On évite ainsi la sclérose intellectuelle consécutive aux automatismes.

Résoudre un problème nécessite une magination à côté de laquelle le récit d'un trip sous champignons hallucinogènes pourrait passer pour le compte-rendu de l'assemblée générale des actionnaires de la Société Nouvelle des Aciéries Mouchabeuf. Le cartésianisme n'est pas un atout mais un grave handicap vous empêchant d'aborder les hypothèses les plus farfelues. Et il faut bien cela quand après avoir éliminé les causes raisonnables de dysfonctionnement vous êtes amené à envisager le reste, qui se situe généralement tout de suite entre les histoires de petit lutin et la quatrième dimension. La seule chose que je me refuse encore à pratiquer c'est l'imposition des mains et le voyage à Lourdes, plus par réaction de mécréant que par doute quant à
l'efficacité des méthodes en question. Je sens qu'avec l'arrivée de Windows 98 il va me falloir opérer une révision déchirante quant à mes convictions profondes.

Quand je pense que certains recherchent les paradis artificiels, et que l'on me paye pour être en état perpétuel d'hallucination. La vie est bien injuste, allez.

Tout cela serait finalement bien monotone s'il n'y avait l'utilisateur, car il existe l'utilisateur, c'est vous et moi. Victime
d'une intoxication à l'échelle planétaire, d'un gigantesque et collectif lavage de cerveau, il s'imagine qu'il va pouvoir tirer
quelque chose de sa bécane, être productif, voire même dans les cas les plus graves envisager un retour sur investissement.

Aujourd'hui l'utilisateur perverti par des slogans pernicieux du style "Jusqu'où irez-vous ?" exige que ça marche, et c'est bien là où tout se gâte, le décalage entre cette légitime attente et ce que l'illuminé de Redmond est capable d'apporter me déprime. "Jusqu'où irez-vous ?", jusqu'à l'asile le plus proche sans doute.

Comment voulez-vous qu'un truc qui est à un système d'exploitation ce que Mireille Mathieu est à Edith Piaf, ce bricolage improbable écrit avec les pieds par une nuée de pervers schizoïdes puisse fonctionner ?

Le mensonge le plus grossier colporté par les sectateurs microsoftiens est celui selon lequel un PC convenablement équipé de l'inénarrable Windows et du fourbi Office dont j'ai oublié le millésime car il change en permanence, fonctionnerait seul et sans assistance.

Le récit d'une journée ordinaire au royaume du Chapelier Fou contredit quelque peu cette idyllique vision du meilleur des mondes possible. Ce doit être une question de numéro de version, sans doute.

Mardi 8 heures Le calme avant la tempête, je peux, l'esprit en repos, me consacrer à un projet qui me tient à coeur : émuler une calculette quatre opérations sur un Vax de la série 8000. Je tenterai l'inverse dès que j'aurai mené à bien cette partie.

Mardi 9 heures Un premier coup de téléphone laconique, "Tu peux venir jeter un coup d'oeil, mon PC est bloqué", sous cette apparence anodine peut se dissimuler le
cauchemar le plus absolu, les raisons qui peuvent amener un PC à se bloquer sont légions, la première étant d'appuyer sur le bouton marche. Je suis d'autant plus inquiet que mon client est un dingue de la vitesse. C'est un peu l'équivalent du chauffard, il parle de bus AGP là où les autres parlent de carburateur double corps, mais la démarche est la même, aller le plus vite possible en semant la terreur sur son passage. Profitant d'un instant d'égarement de son chef de service il a réussi à se faire payer le dernier Pentium à 333 Mhz, ce qui lui permet de gagner cinq secondes sur la mise en page
de sa feuille de calcul. C'est comme on le voit une avancée considérable à la mesure de
l'investissement consenti. Je le trouve un peu déprimé car on annonce déjà le Pentium à 400 Mhz ou plus et il contemple avec amertume ce qu'il considère déjà comme
l'équivalent d'une caisse à savon.

J'essaye de le réconforter en lui disant qu'avec la bête qu'il possède il devrait éviter d'ouvrir deux fenêtres en même temps pour ne pas faire de courants d'air. Une boutade bien innocente, c'est le côté Ménie Grégoire de la profession, mais je
sens bien qu'il n'y croit pas. Les grandes douleurs sont souvent au-delà des mots.

Mais revenons à nos moutons, PC bloqué. Effectivement, passé le démarrage, tout ce que nous obtenons c'est un sablier désespérément figé, je suis tenté de répondre que c'est parfait pour faire des oeufs à la coque mais quelque chose dans
son air égaré me dit que je ferais aussi bien de me taire. C'est alors que j'envisage du coin de l'oeil un CD-ROM offert par PC truc "Mesurez les performances de votre PC", eh !oui ça ne sert à rien d'aller vite encore faut-il pouvoir l'exprimer en Business Graphics, WinMark 98, High End Disk WinMark 98 et autres CPUMark32, c'est requis pour humilier, à l'heure du café, les ploucs avec leurs Pentium 133.
Je lui demande si par le plus grand des hasards il n'aurait pas monté ce truc là sur sa machine, je connais la réponse. Il est d'ailleurs mentionné en tout petit sur le CD que l'installation de cette suite de tests devrait être effectuée sur une machine quasi vierge et pas sur un système normalement opérationnel, "cela pouvant provoquer des
dysfonctionnements". Des "dysfonctionnements", tu l'as dit bouffi. Diagnostic ; je t'envoie quelqu'un pour te remettre un système d'équerre celui-ci étant parti en villégiature à la
campagne, pour une durée indéterminée. Rendez-vous est pris pour la parution du prochain CD de tests de PC machin. Au suivant.

Mardi 10 heures Juste le temps de constater le plantage d'un serveur
NT. Quelqu'un a vraisemblablement éternué devant, c'est très sensible comme système. Bon, reset, redémarrage, la routine quoi. Deuxième coup de téléphone "Tu n'aurais
pas cinq minutes des fois, il se passe parfois des choses curieuses sur ma machine". Connaissant mon correspondant la seule chose curieuse dans tout cela c'est le parfois, il est stupéfiant que ce ne soit pas toujours.

C'est qu'il s'agit de la variété dite de "l'esthète taquin", épouvanté par l'uniformité il a installé sur sa machine tous les thèmes possibles, le pointeur de souris est un calamar, le sablier une horloge Comtoise, l'économiseur d'écran qui se déclenche toutes les minutes est un jeu de baston intergalactique avec force
sifflements et explosions. Car il a bien
évidemment une carte son.

C'est indispensable pour reproduire le rire de Johny Hallyday selon les Guignols de l'info, rire qui accompagne les messages
d'avertissement. Tout cela est un peu perturbant. Ayant de surcroît accès à l'Internet il a récupéré et installé tous
les sharewares possibles, il n'y a plus aucune pièce d'origine sur sa machine, il a tout remplacé et il est seul à pouvoir s'en servir. Il est assez surprenant qu'il ne soit obligé de rebooter sa machine qu'une fois par heure. Je suis peut-être injuste
envers PetitMou.

A l'intérieur de tout grand logiciel il en existe plusieurs petits qui ne demandent qu'à sortir, là c'est la grande évasion, il suffit de coller l'oreille contre le boîtier pour les entendre se carapater. Tout ce joli monde doit se battre en permanence pour prendre le contrôle du système. C'est un cas désespéré. Je m'en sors lâchement en lui disant d'aller
récupérer sur http://www.crap.com la dernière version de son anti-virus/gestionnaire de fichiers/explorateur/compacteur-/logiciel de
sauvegarde/éditeur de textes/navigateur
internet, et me tire vite fait sans toucher à la souris de peur de déclencher un Tchernobyl dans sa machine. Au suivant.

Mardi 11 heures De retour dans mon bureau je constate le plantage d'un autre serveur NT, par solidarité avec le premier sans doute. L'instinct grégaire ou le début d'un mouvement de revendications. A surveiller. Autre coup de téléphone, en provenance d'une espèce bien particulière, la variété qui se shoote à la presse informatique, on ne dira jamais assez les ravages que cela peut provoquer. Stratège planétaire, il m'explique comment l'introduction de Java dans les entreprises va révolutionner la façon dont nous
envisageons l'informatique. Comment Sun va bouffer Microsoft à condition qu'Oracle s'allie avec Apple et que Compaq ne vienne pas jouer les trouble-fête. Il me prédit la mort prochaine d'Intel victime de ses challengers, et écrasé sous son gigantisme. Au bout d'un moment atterré par toutes ces apocalypses à venir, je ne sais plus très bien où j'habite et c'est légèrement comateux que je raccroche en espérant ardemment que tout cela voudra bien patienter jusqu'à ma retraite.

Mardi 13 heures Coup de téléphone angoissé en provenance d'une secrétaire, "Quand je lance mon Word avec un document que j'ai tapé hier, j'ai le message suivant : "cette application va s'arrêter car elle a effectué une opération non conforme", je suis tenté de lui répondre qu'il s'agit là d'un fonctionnement normal de l'application, mais je m'abstiens. Son désarroi est sincère et la perte de plusieurs heures de travail ne porte pas à rire.

Bon en route vers de nouvelles aventures. Cette charmante personne au demeurant, appartient à la catégorie de ceux qui considèrent l'introduction de l'informatique dans leur quotidien comme une calamité.

L'espèce de truc ronronnant qu'on lui a posé sur son bureau est pour elle, visiblement habité par un esprit hostile et rebelle à toute collaboration avec le genre humain. Elle a bien essayé de l'apprivoiser en le banalisant, en installant un pot de fleurs sur le boîtier et la photo de ses gosses sur l'écran, mais rien n'y fait, habité d'une vie propre il s'ingénie à lui pourrir l'existence. Elle serait je crois soulagée, si je suspendais des gousses d'ail et des crucifix au plafond et aspergeais sa machine d'eau bénite, c'est le côté chaman de la profession. A la vingtième tentative je réussis à charger
son document sans déclencher l'infamant message de vacances pour cause de non-conformité des opérations effectuées par l'application, il s'agissait d'un tableau
coupé par un saut de section, quelque chose de tellement grave selon Microsoft que cela méritait un plantage radical. Peut-être qu'une destruction totale de la machine aurait été plus appropriée, je les trouve un peu laxistes ces temps-ci. Problème
corrigé. Au suivant.

Mardi 15 heures. De suivant il n'y en eut point ce jour-là, je terminais ma journée tranquillement entre deux reboot de serveur NT, et mes travaux sur la reconversion d'un Vax en calculette. J'en étais à la soustraction, je ne désespérais pas d'arriver à la division à l'horizon 2005. J'aurai certainement besoin de 512 mégas de mémoire vive supplémentaire pour l'implémenter, c'est le directeur financier qui va encore râler.

C'est une certitude demain amènera son nouveau lot de victimes. Si tous ces gens savaient qu'au fond je ne maîtrise guère plus qu'eux tout cela, que le métier est de bien peu de secours quand Word ou Excel ou que sais-je se bauge lamentablement, que le temps ou une entreprise vivait sur des applications maisons est définitivement révolu.

Bah je fais comme si je dominais, c'est ce qu'ils attendent de moi, c'est le côté charlatan du métier. Et puis ils ont au moins quelqu'un d'identifié à engueuler.

Quant à moi je m'endors tous les soirs en rêvant aux tortures que je ferai subir à Bill Gates s'il venait à me tomber sous la main. C'est le côté psychopathe du métier.


Source

Ecrit par My status ScHinZe à 13:43
2 commentaires

09 août 2006
Nouveauté: La WebRadio

Ola ola !
Y a du neuf là !
Comme vous avez pu le constater, la radioblog et la kikoo webradio ont laissé leur place à la nouvelle webradio NiPourNiContre.
C'est très simple: J'ai un winamp qui tourne sur mon ordi, et tout ce que j'écoute est directement diffusé, grace au serveur ShoutCast, hébergé sur ma nouvelle Dédibox, via le petit outil php-SHOUTCast développé par mon pote Arnaud, l'admin de Xooit, sur NiPourNiContre.com

Vous pourrez y écouter de la musique régulièrement et de manière diversifiée, et suivre, d'après l'historique, les chansons qui sont passées, et en cliquant dessus, atterir directement sur le site de la FNAC pour pouvoir acheter l'album...
Elle est pas belle la vie ? ;)

PS: Et le combi en image de fond est celui de mon coloc... J'adore !

Ecrit par My status ScHinZe à 23:51
0 commentaires

08 août 2006
Ca fait un bail...

... que je n'ai pas raconté mon existance égocentrique tiens...
Au moins, toi, lecteur, tu peux d'emblé fermer cette page si t'en as rien a foutre...
A pour info, je suis en train de bosser sur la webradio... je sais, sous FireFox, on arrive pas toujours a l'arreter, c'est chiant...
Bon, alors...
Quand est-ce que j'ai arreté de raconter ma vie ?
J'vous ai parlé de mon arrivée a Nice, de mon boulot a Cagnes...
Vous avez pu vous rendre compte que j'avais trouvé une perle rare, Julie...
Oui, je parle au passé, je sais...
Puis que s'est il passé ?
A oui, 2 semaines de vacances, ou je suis retourné m'enfermer chez mes parents dans mon ancienne ville toute moisie, avec pour seule motivation de passer la soirée avec celle qui faisait battre mon coeur...
Puis...
Alalalala...
Elle m'a fait ouvrir ma Boite de Pandore (cf dernier slam)...

Pas facile, du tout...
Moi qui avait plongé ma tete d'autruche dans ma tanniere depuis 24 ans (bientot, le 27 aout...), me voila me mangeant la vérité en pleine face...
Le hic, c'est qu'en meme temps, alors que je me sentais fatigué et moralement perturbé depuis quelques temps, je recoit les résultats de ma prise de sang (Vous savez, de temps en temps c'est bon de faire un dépistage pour le Sida...)

Pas de HIV en vue, mais on découvre que ma thyroide ne marche plus...
Ma mere, me voyant déprimé/fatigué depuis pas mal de temps me dit "Ne cherche pas, ca vient de la..." et la, j'apprend que je le tiens de ma famille... beaucoup l'ont eu...
Bref...
C'est pas tout...
Alors que je commence mon nouveau travail, sans encore savoir pour ma thyroide, voila que mes migraines recommencent, toujours aussi violentes, a m'en tapper la tete contre les murs...
Obligé de se blinder de médocs, du coup, etre une loque en fin de semaine...
Rajoutez a ca la thyroide (dont le seul traitement reste de prendre un cachet a vie sous peine de se revoir déréglé/perturbé/fatigué), la découverte d'informations sur mon pere, le nouveau travail, et la peur constante de perdre celle que j'aimais si je ne retrouvais pas la peche...

J'ai pas tenu...
J'ai essayé, j'ai pris sur moi tant que je pouvais... que ce soit pour mes migraines ou pour Julie...

Pas facile pour elle de supporter mes soucis de santé actuels...

Enfin bref...
Que me reste-t-il ?
Mes projets et mes ambitions...

Je crois que seul le contenu de mon cerveau ne me lachera pas...


Enfin, j'espere...

Ecrit par My status ScHinZe à 13:06
0 commentaires

06 août 2006
Merci pour tout Ju...

Je dédie ce post à celle qui m'a ouvert les yeux, celle qui m'a ouvert le coeur...
Merci pour ta patience...
Merci pour ta présence...
Merci pour tout ma titoune...






La place d'un père, la place d'une mère dans une famille

La place de deux êtres chers censés s'aimer pour la vie
Unis par leur volonté, par les sentiments en commun
Simplement réunis, on craint rien
Enfin c'est c' qu'on dit mais pas toujours c' qu'on voit
J'ai demander pourquoi, on m'a répondu c'est la vie
Puis-je donner mon avis? Faut qu' j' reste en dehors de ça
Quand l'amour s' transforme en haine et qu'on s' déchire devant moi
Voila ce qu'il en est, et c' n'est pas autrement
Comprend tant d'angoument pour l'histoire de mes tourments
Le temps évolue, j'ai fait face aux soucis, j'ai grandi
Maman est là, mais papa est parti et la j'ai compris
Qu' t'as préféré tourner la page
J'étais pas du voyage, dire qu' j' te croyais au paradis
Vu qu' l'alcool fait des ravages
Tu t'es pas rattrapé et sans même te retourner
J' t'ai vu t'éloigner du rivage
Et s' tu as ta vie merdique j'en sais trop rien
Dev'nu alcoolique et tu fais du mal aux tiens
Combien de fois tu l'a vexer, combien de fois t'étais pas la
Combien de bleus sur ses bras, car quand on aime on n' compte pas

Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout est devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

Oh papa, si j'avais j' t'aurais dit
Non ne pars pas!
J'étais trop p'tit pour comprendre
J'ai dû grandir sans toi
Même si mama c'est bien occupée d' moi
Il me manquait un repère, un père derrière moi
J'fermais les yeux et j'imaginais ton visage,
J'savais juste que t'étais noir vu mon métissage
A l'école on m' demandait
Ton papa il fait quoi?
Les autres se marraient quand moi je ne répondais pas
Le jour ou j' suis tombé sur cette photo de mariage
Le puzzle de ma vie a commencé son assemblage
J'ai enfin su à quoi tu ressemblais
Impossible d'expliquer l'effet qu' ça m'a fait
1990 le téléphone sonne
Après l'orage le soleil rayonne
Mama m'appelle et m' dit quelqu'un veut t' parler
J'ai juste entendu allo j'ai compris qui c'était
Quelques semaines plus tard te voilà devant moi
Est ce la réalité ou s' rêve que j' vis à chaque fois
T'es resté 8 ans puis t'es r'parti
T'es retourné au pays

Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout est devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

A la suite de ton départ
J'ai dû m' faire une raison
Quand elle a dit au grand frère,
Maintenant t'es l'homme de la maison
Elle si fière dev'nue la cause de mes souffrances
Devant nous l'air de rien, mais qui pleurait en silence
J'aimerais plus t'en vouloir, à l'inverse de mon coeur
Une rancoeur intérieure d'avoir juste un géniteur
A toute personne délaissée, sans présence de darons
Divorcée ou décédées, qu'ont juste hérité d'un nom

Oh papa! J'ai mis 4 ans pour effacer ma rancune
Un père on en a qu'un une mère on n'en a qu'une
J'ai ranger ma fierté, j' t'ai rejoins là-bas
Les larmes ont coulées quand tu m'as pris dans tes bras
Moi j' l'ai r'trouvé, d'autres ont pas eu cette chance
J'leur dédie ce morceau et partage leur souffrance
Ceux victimes d'un abandon, d'un divorce ou d'un décès
Ceux qui vivent avec le coeur brisé


Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout es devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

Ecrit par My status ScHinZe à 23:12
0 commentaires

03 août 2006
C'est ironique...

"An old man turned ninety-eight, He won the lottery and died the next day..."

Ne vous est il jamais arrivé de voir arriver une chose tant attendue, mais pile au moment ou il faut pas...
Rencontrer quelqu'un de la ville que vous venez de quitter, vous découvrir des problemes de santé alors que vous commencez un nouveau taf ?
J'vous jure, pour ceux qui ne connaissent pas ce sentiment de frustration... c'est chiant... Ironique meme...
Voila bientot 3 semaines que j'ai commencé mon nouveau travail, et malgré toute la meilleure volonté du monde, mes CCQ (Céphalées Chroniques Quotidiennes) me rendent aussi rentable qu'une loutre neurasthénique...
Le pire, c'est que le seul moyen de faire passer ca, c'est:
- Ne plus prendre de médocs, car la consommation engendre la dépendance (soucis: et v'la la migraine de 10 jours non stop... super pour le taf -> C'est du vécu...)
- Aller faire un stage dans un centre anti-douleur, et faire tout les exams qui vont bien... Ce qui signifie arret maladie de au moins 15 jours... apres 3 semaines de taf, ca le fait grave aux yeux de l'employeur...

Reste quoi ?

Continuer a bosser, prendre des médocs en priant que ca passe, et faire semblant d'etre dans son travail, tout en luttant contre l'idée de se jeter par la fenetre...

Show must go on nigger...

Et quand j'pense a ma copine qui me dit "faut prendre sur toi des fois"...


J'prend sur moi 24h/24, 7j/7...
Il arrive que parfois on craque apres ca, non ?

Mal de crane du matin, tout va bien,
Mal de crane du midi, pas de soucis,
Mal de crane du soir, attendons de voir,
Mal de crane de la nuit, allez, c'est reparti...

Ecrit par My status ScHinZe à 15:42
0 commentaires

Les conneries écrites dans les blogs restent la propriété de ma race.
Les commentaires postés sont la propriété de leurs auteurs respectifs.
Les chansons proposées restent la propriété de leurs auteurs respectifs.
(et les bénéfices qu'elles rapportent tombent encore et toujours dans la poche des majors...)