29 mars 2006
La vie à Nice, deuxième épisode
Tout à commencé après ce rêve bizarre... Je revais que j'étais contaminé par la grippe aviaire, et que je le prenais à la cool, m'en foutais un peu, et en profitais pour endosser plus que jamais ma peau d'épicurien... Je savais que cette journée ne serait pas comme les autres... J'voulais juste dire que j'ai des soucis avec mon ordi et que j'peux plus rajouter de musiques pour le moment... Au programme, une vingtaine d'artistes: Adrian Legg, Anais, Animal Liberation Orchestra, Ben Lee, Bullet for my valentine, Christophe Mali, Death Cab for Cutie, Don Ross, Donavon Frankenreiter, End of Fashion, Fabulous Troubadors, Fall Out Boy, G Love, House of pain, John Mayer, Keren DeBerg, Lee Ryan, Matt Costa, Mig, Xavier Rudd et Zach Gill... Toi qui me lit en connait surement déjà certains, comme Christophe Mali, de Tryo, ou ceux du label Brushfire Records (Donavon F, Matt Costa, ALO etc...), dont est issu Jack Johnson... Une légère refonte de la section musique est prévue, afin de mieux lister les artistes présentés, qu'ils soient lisibles du premier coup d'oeil. Ah, j'en profite pour caler une annonce: Je recherche un(e) infographiste pour le site de notre marque de fringue ( www.rab.fr ), et un "flasheur" pour me pondre une bannière lisant les musiques archivées ici, car je voudrais utiliser l'espace de la radioblog pour autre chose... Pas de pesetas à la clé, désolé... Au mieux, je pourrais offrir un hosting sans publicité pour un book potentiel, et, peut etre, des backstage pour des concerts sur Nice ;)
Ecrit par ScHinZe à
16:25
25 mars 2006
Qui suis-je ?
Jamais le même, ça c'est sur... Voila une chose qui m'a bien rongé le cerveau en cette fin de journée... C'est pas bien, c'est sur, mais je suis ainsi... Jamais le même... M'adapter aux gens qui m'entourent pour finalement être aimé de tous... ? Tel un caméléon social, je me faufile partout, j'adhère à tout, sans, finalement, que chacun sache qui je suis réellement... Mais le sais-je moi même, en fin de compte ?
Ecrit par ScHinZe à
00:54
13 mars 2006
Au temps pour moi ?
J'me pose de ces questions moi, j'vous jure... Il y a quelques jours, en lisant "L'arbre des possibles" de Bernard Werber, je fus choqué en voyant écrit "Au temps pour moi"... Ayant pris l'habitude de l'écrire "Autant pour moi", je me suis retourné le cerveau pour savoir pourquoi BW l'avait écrit autrement... Je ne remets pas en doute sa manière de l'écrire, mais j'ai commencé à mettre en doute la mienne... Du coup, après avoir croqué le cerveau à ce sujet à quelques collègues du bureau, je me suis jeté sur Google pour savoir... Voici le site qui m'a révélé la réponse: http://www.langue-fr.net/index/A/au_temps-autant.htmLe débat reste entier quand il s'agit de la formule prononcée en cas d'erreur (notamment ? mais pas exclusivement ? de la part d'un supérieur ou responsable s'adressant ainsi à ses subordonnés). La plupart des auteurs normatifs et des lexicographes penchent pour la graphie au temps pour moi avec une origine militaire (et le calque de au temps pour les crosses ou musicale (erreur du chef d'orchestre). Toutefois autant pour moi reste revendiqué comme ellipse de c'est autant pour moi. Même si cette revendication est minoritaire, elle n'est pas nécessairement infondée. LA phrase que j'ai retenu à ce sujet est la suivante: On doit utiliser autant pour moi s'il est question d'une même chose ou d'une quantité et non d'une erreur (même si l'on a l'habitude, dans ce dernier cas, d'utiliser au temps pour moi).
Et une illustration: Ainsi, au café avec des amis, on peut avoir le dialogue suivant :
Ecrit par ScHinZe à
19:00
11 mars 2006
Un peu de culture... Les sables mouvants
Composé majoritairement de sable très fin, d'eau, et d'argile, le sable mouvant est un matériau thixotropique : il a la capacité de changer de consistance.
Un yaourt qui est solide à l'état normal peut devenir liquide quand on le touille. Par cette action, on détruit le réseau de protéines de lait qui assuraient sa fermeté. Dans le cas du sable mouvant, c'est la même chose.
Un milieu instable Le taux de viscosité dépend de la force exercée et de la vitesse d'écoulement. Si rien ne vient perturber le sable, les plaquettes d'argile ont tendance à s'agglomérer au fil du temps. Mais si on marche sur le sable, par exemple, la structure en "château de cartes" de l'argile s'effondre.
Car le sable mouvant contient en fait assez peu de sable? Prenez un empilement d'oranges comme au supermarché. Dans cet empilement, vous avez 2/3 d'oranges et 1/3 de vide. Dans le sable mouvant, il y a à peine 40% de sable, c'est-à-dire qu'il faudrait retirer la moitié des oranges pour arriver à l'équivalent ! On comprend que ce n'est pas un matériau très stable?
Mais tous les sables humides ne se transforment pas en sables mouvants. D'abord, il faut un courant d'eau ascendant qui circule dans le sable pour maintenir le mélange eau-sable. Et le plus souvent, le sable mouvant est salé, car le sel favorise l'agrégation des particules d'argile.
Que faire si vous êtes coincé ? Passons aux conseils pratiques : Peut-on vraiment rester coincé dans des sables mouvants ? Oui, et ce n'est pas seulement une légende. Quand on bouge, le sable se dépose au fond du trou, et se tasse de plus en plus. Pour peu que l'on ait un pied coincé, il faut une force équivalente à celle pour soulever une voiture pour se sortir du trou ! L'astuce consiste à tourner si possible son pied pour introduire de l'eau entre le sable et le pied, et fluidifier un peu le milieu.
Par contre, il est tout à fait impossible de se noyer complètement (voir les images ci-dessous) : la densité du sable est d'environ 2g/cm³ et celle d'un humain ou d'un animal de 1g/cm³. Et la poussée d'Archimède nous apprend que l'on ne peut pas se noyer dans un milieu plus dense que nous.
La légende des noyades provient sans doute du fait que les sables mouvants se retrouvent fréquemment au niveau des estuaires des fleuves (comme pour le cas du Mont Saint Michel). En restant coincé dans le sable, plusieurs personnes ont ainsi pu périr englouties par la marée montante.
D'autres types de sables mouvants Il existe des sables mouvants secs, un cas assez rare. Dans le film Lawrence d'Arabie, on voit ainsi un personnage s'enfoncer inéluctablement sous les yeux du colonel, impuissant à le sortir de ce piège. Ce type de phénomène est du à une structure très aérée du sable, finement déposé à la surface. Mais dans la réalité, rien à voir avec le film : on s'enfonce d'un seul coup dans ce type de sable.
On trouve aussi des sables mouvants sans argile "pâte à modeler" (qui s'agglomère). Ce type d'argile est tout aussi dangereux : il suffit de 1% d'eau en plus pour réduire de 100 000 fois la viscosité du matériau. Le village de Roquebillière (Alpes Maritimes) a ainsi été enseveli en 1926, et en 1964 au Japon, des maisons se sont enfoncées dans un sol devenu liquide en l'espace de quelques secondes.
Source: http://www.linternaute.com
Ecrit par ScHinZe à
14:32
09 mars 2006
Alain Perez
Je vous présente Alain Perez, mon ancien prof de gratte, aux cotés de Santana, durant une tournée aux USA... Enorme... Album à venir ? J'espère... Et c'est le guitariste officiel de Khaled...
Ecrit par ScHinZe à
20:52
08 mars 2006
La vie à Nice, premier épisode
Il y a des fois où on n'ose pas trop vérifier si l'herbe est plus verte chez le voisin... Peut être nous répétons nous souvent que ce n'est pas le cas pour justifier notre crainte de l'inconnu ? Bref, toujours est il qu'à force de trop m'accrocher à une branche en ayant peur de la lacher, craignant de ne pas en trouver une autre durant ma chute, celle-ci a rompu... Malgré une chute inévatible, il subsiste cet instant de ralenti, même genre d'instant que l'on retrouve en sautant du haut d'une falaise, dans un océan aussi grand qu'inconnu, instant qui nous permet de nous reccueillir et mieux observer où on va tomber... A ce moment, notre esprit est assez clair et nos réflexes rapides pour distinguer une autre branche à laquelle nous rattraper... Et parfois, comme dans mon cas, on l'attrape, et on découvre un arbre encore plus agréable et confortable que celui qu'on a eu tant de peine à quitter. Sorties, rencontres, bars, restaux, artistes, concerts, job... Tout est là où on arrive, encore faut-il prendre le temps de les trouver... Comme l'a dit Olivier Clerc dans "La grenouille qui ne savait pa qu'elle était cuite, et autres leçons de vie" (Ed JC Lattès), il convient de travailler à la fois individuellement et sur le plan collfectif [...] il est aussi important d'oeuvrer à améliorer le milieu dans lequel nous baignons, le contexte général, afin de favoriser l'évolution de chacun.Pour conclure, je dirait qu'un travail intérieur précédant un changement radical d'environnement permet de mieux se retrouver, et mieux trouver sa place dans son "nouveau monde"... Ce que Nostradamus qualifiait de "fin du monde" ne devrait-il pas être revu en "fin d'un monde" ? Reportez cette réflexion historique (dans le sens "faisant maintenant parti de l'histoire") à votre existence personnelle, et comprenez maintenant pourquoi mon futur album (lol) s'apellera "Etapes"... PS: J'me rend compte que j'ai pas dit ce que je voulais dire ici... Et pourquoi il y a un écureuil comme image d'accompagnement... Tout simple: J'ai trouvé du boulot, je bosse dans une grosse boite, implantée dans une forêt, avec la mer en contre-bas, pas une voiture à moins de 5 km, des écureuils qui viennent vous manger dans la main, des mimosas en fleur, 700 personnes, dont les 3/4 sont des femmes et les 3/4 sont des jeunes, où on mange très bien pour 3 euros, où je gagne mieux que dans mon ancien taf... Bref, c'est le pied quoi ^^
Ecrit par ScHinZe à
07:18
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